LIBERTÉ
La liberté est la première des valeurs cardinales que nous défendons. La liberté est un bien précieux, le fruit de longues luttes historiques de tous temps et dans tout point du globe. Aujourd’hui, nous concevons certaines de nos libertés comme une évidence, ancrées qu’elles sont dans nos lois fondamentales depuis des décennies : liberté de conscience et croyance, liberté d’établissement, liberté économique, liberté d’association et de réunion, liberté de la presse, etc.
Derrière les principes que personne ne conteste, il n’empêche que toutes ces libertés sont les cibles permanentes de petites attaques incessantes : quand l’Etat fait preuve de zèle administratif, il entrave la liberté des petits indépendants et commerçants, quand la surveillance informatique n’est plus contrôlée, elle empiète sur la sphère privée des citoyens, etc. Des questions comme le droit à une mort digne ou le droit de se marier et de fonder une famille pour les couples de même sexe sont, par exemple, encore des domaines où la place de la liberté est encore discutée dans notre pays.
Le PLRCM défend la liberté comme valeur cardinale, car sans elle, les autres valeurs ne peuvent pleinement être réalisées.
RESPONSABILITÉ
Le PLRCM défend immédiatement après la liberté, la valeur de la responsabilité. Chacun doit assumer ses actes. Être libre, ce n’est pas « faire ce que l’on veut ». C’est avoir la possibilité de vivre selon ses choix, en en assumant les conséquences. La responsabilité des collectivités publiques par rapport aux citoyens est importante. Il faut rappeler que l’Etat, ou la commune, est au service du citoyen. La responsabilité individuelle est également primordiale. Celui qui ne se comporte pas correctement doit être sanctionné. La confiance entre les personnes repose également sur le fait de savoir que l’autre assumera sa responsabilité au besoin.
Solidarité
Enfin, pour compléter les deux premières valeurs, il reste celle de la solidarité. Il y a des personnes qui ont besoin de plus de protection que les autres (personnes âgées, enfants). Il y a des personnes qui ne peuvent pas assumer tout ce qu’on attend d’elles sans leur faute (personnes en situation de handicap, invalides, impotents, malades graves ou chroniques, etc.). Il y a également des personnes qui traversent tout simplement une mauvaise passe, comme cela peut arriver à chacun (chômage, personnes en cours d’intégration, aide sociale, etc.). L’Etat doit être là pour aider ces personnes et, dans la mesure de ce qui est possible, de faciliter au maximum un retour à une situation stable ou une intégration. On peut penser par exemple à l’accès facilité des bâtiments publics pour les personnes en situation de handicap, qui n’est de loin par réalisé.
La solidarité, c’est aussi un mélange entre les citoyens et les générations, par le biais d’une vie associative et culturelle riche, au travers de nos 5 villages.
Le PLRCM a à cœur ces 3 valeurs, qui sont à la base de l’ADN des libéraux-radicaux qui ont fondé notre Suisse moderne. Il les a à l’esprit quand il s’agit de prendre des décisions pour la collectivité, comme le montrent nos nombreuses interventions au Conseil général par exemple.